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LA PEAU MIROIR DE NOTRE SANTE

Notre peau est un peu la vitrine de notre santé, du moins des signes de l’âge, de la fatigue, de nos intoxications… mais aussi de nos stress qui peuvent s’exprimer à travers des symptômes cutanés. Même la communauté scientifique va aujourd’hui dans le sens de ce que la naturopathie avait observé depuis longtemps. Ainsi le Dr Stefanie Williams, dermatologue, directrice de l'European Dermatology (London), une clinique privée spécialisée dans la dermatologie cosmétique scientifiques, nous explique que le sucre est l’ennemi n°1 de la peau. Qu'il soit vrai ou faux (les produits "light" n'ont pas bonne réputation), glucose ou fructose, il est considéré comme un aliment à éviter car néfaste pour le collagène, ayant été jugé responsable du vieillissement accéléré de la peau. La beauté de notre peau trouve davantage sa source dans notre assiette et notre hygiène de vie plutôt que dans des crèmes ou lotion dont nous ne savons même pas si nos cellules cutanées peuvent les assimiler et les utiliser. Mais n’oublions pas l’approche psycho-émotionnelle ! Comme tous les organes de notre corps, la peau exprime aussi ce que nous ressentons et chacun de ses symptômes aussi variés soient-ils (acné, eczéma, herpes, furoncle, mélanome, psoriasis..) correspond à des états émotionnels conflictuels non résolues.


Avant de vous proposer de comprendre le sens d’un de ces symptômes (les verrues) sachez que vous pourrez découvrir toutes les subtilités du monde cutané, les causes de ses maladies, et l’approche de soins hygiéniques de la peau, lors de notre prochain séminaire :

« Les maladies du système cutané et les allergies » qui aura lieu à NANCY les 30/10 et 1/11 prochain. Cette formation est aussi intéressante pour découvrir et comprendre les fondements du décodage biologique des maladies . Nous aborderons toute la problématique des allergies à la fois à travers une approche de terrain et bien sur à travers l’approche psycho-bio-logique des maladies. De nombreux exemples de guérisons viendront enrichir cette formation.

Ce stage sera ouvert à tous.

Voici donc un exemple d’une approche « psycho-bio-logique » de la maladie


LE SENS BIOLOGIQUE DES VERRUES

Les verrues sont des tumeurs cutanées bénignes (non cancéreuses). Dans la conception médicale allopathique elles ont pour origine l'infection de la peau par un virus, le papillomavirus humain (HPV : Herpes-Papillomas virus). On en dénombre une cinquantaine de types différents, certains donnant plus volontiers certaines verrues. Il semble communément admis que les verrues des mains, des coudes et des genoux peuvent provenir de microtraumatismes (c'est particulièrement vrai pour les verrues des bouchers), alors que celles des pieds seraient favorisées par le sol des piscines, des salles de sports et de leurs douches (le HPV s'introduirait plus aisément dans un épiderme gorgé d'eau !).


Même si nous ne nions pas la présence du virus HPV, difficile pourtant de croire en la théorie infectieuse selon laquelle le contact avec un sol infecté peut transmettre ce virus. En effet, il convient de remarquer qu’il n’y a pas de logique anatomique dans leur apparition. La plupart des verrues de la main se situent sur la partie dorsale des doigts (pourtant la moins en contact avec les surfaces soit disant source d’infection). Pour les verrues plantaires nombreuses sont les personnes « contaminés » n’ayant jamais mis les pieds à la piscine ou dans un endroit soit disant infecté alors que pour ma part je fréquente régulièrement les piscines municipales, les vestiaires collectifs, je marche pied nu partout (même en ville) 7 mois par an et je n’ « attrape » pas de verrues plantaires ! Pourtant la médecine Pasteurienne refuse d’admettre l’évidence d’une réalité qui semble la dépasser.


Avez –vous aussi remarqué que les verrues des mains se situent sur la partie dorsale de la main alors que les verrues plantaires se situent quasiment toujours sur la plante ? Pourquoi une telle différence ? Tout simplement parce que le symptôme obéit à une logique conflictuelle. Voici un exemple expliquant les verrues sur des doigts des enfants . (Il ne s’agit ici que d’un exemple, dont ne peut tirer de généralité , chaque symptôme étant relié à des problématiques uniques)


Un décodage des verrues palmaires des enfants

L’un des conflits associé aux verrues des doigts se manifeste pour la première fois souvent vers l’âge de six ou sept ans lorsque l’enfant apprend à écrire. Pour certains d’entre eux la dextérité n’est pas encore suffisante pour faire de belles lettres alors que certains de leurs camarades plus en avance réussissent mieux qu’eux. Ce sont ces premiers qui trouvent leur écriture « moche ». De plus la maîtresse et les parents lui font savoir ! Il se dévalorise alors sur son geste. Il s’agit du « conflit du geste exécrable » c’est le conflit majeur de certaines verrues des mains. A chaque fois que ce ressenti s’exprime, le cerveau répond par la création de se symptôme. A cet âge, son conflit à l’écriture se résume à un conflit avec sa main. Pour un enfant de six ans (qui n’a pas encore pleinement la vision globale de son corps) ce n’est pas lui qui écrit mal, c’est sa main ! Pour être encore plus précis c’est ce qu’il voit d’elle pendant l’exercice d’écriture. Il fait donc un conflit avec l’épiderme de la partie visible de la peau de la face dorsale de ses doigts (qui tiennent le stylo).


La logique du symptôme

Prenons maintenant l’exemple d’un apprenti mécanicien qui commence à s’exercer sous une voiture. Ses gestes sont encore maladroits et il est normal qu’il se dévalorise sur sa dextérité manuelle. Mais dans ce cas, quand il travaille sous la voiture c’est la partie intérieure de sa main qui est dans son champ visuel et c’est à cet endroit que les verrues vont apparaître et non sur la face externe même si elle est aussi en contact avec de nombreux objets « sales».


Autres conflits des verrues

Bien sur toutes les verrues ne peuvent s’expliquer par cet unique conflit ? Chaque localisation d’apparition de la verrue a une symbolique ou une fonction qui nous permettra de découvrir la source du conflit.


Imaginons un enfant qui se fait attraper avec un objet volé en main. « Fais voir la pièce que tu as volée ! ». Il a été « pris la main dans le sac ». Il vit une culpabilité pour un petit larcin découvert en ouvrant sa main. Il est « exécrable dans l’action de sa main » et ici, c’est encore sur la face interne qu’apparaitrons les verrues. La logique du symptôme dépend de la logique du conflit.


Prenons l’histoire (vrai) d’une enfant ayant des verrues aux genoux. Pour elle les genoux racontaient le fait de devoir s’agenouiller à l’église car elle était « enfant de chœur ». Or c’est à l’église qu’elle vit le curé s’adonner à des « gestes déplacés », des attouchements sur sa sœur : les gestes exécrables vécus à l’église !


Les verrues, comme toutes les maladies, obéissent à une logique biologique parfaite. Cependant, comme le montre ces exemples, la compréhension du conflit des verrues passe par la compréhension précise des ressentis du patient, de sa psychologie et de ses représentés mais aussi par l’interprétation symbolique des parties du corps où se développent les verrues. Une verrue sur les bras n’a pas la même signification qu’une verrue située sur le genou ou sous l’aisselle !


Thivent Jean-Brice

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